Pag 5.3 - Les versements effectués à la
Banque du Gothard étaient toujours justifiés pour ce qui concernait l'origine
et l'activité. En plus toute la documentation administrative et contractuelle
était à disposition dans les archives.
Telle
différence, ou pour mieux dire, manipulation de la vérité documentaire était
vérifiable même dans les plusieurs procès verbaux de Tiberti G. lesquels
démontraient sans équivoque, la volonté perverse de mystifier et naturellement
l'ignorance en matière fiscale.
Pag 7.2
Pour justifier la provenance des
sommes versées à la Banque du Gothard, en espèces par M. Mangione R. pour un
total de 1.600.000 $ on a exhibé les récépissés de prélèvement auprès du
Crédit Foncier de Monaco, de la Compagnie Monégasque de Banque et de la Banque
Monégasque de Gestion.
On a eu
la totale omission de ces deux dernières banques lors des enquêtes et du procès!
A
partir de ces récépissés on pouvait remarquer que le titulaire du compte
était M. Mangione et qu'il n'existait point une liaison avec M. Testa qui
était au contraire
un véritable inconnu. Pendant
que les reçus des autres deux banques c'était un compte "chiffré."
Pag 8.2 Il n'y avait aucune demande
expresse faite par M. me Iotta de faire apparaître un prélèvement de caisse,
au contraire d'éviter le coût du virement.
Pag 10.4 Il
citait la commission rogatoire internationale faite à Rome par le Juge Hullin
J.C. D269 et D270 de seulement 24 pages (on a découvert qu'il y avait plus de
1300 pages).
Pag 10.5 Il
affirmait sans aucune hésitation que l'enquête avait été déroulée très
minutieusement ???, ce fait démontrait seulement une profonde mauvaise foi.
Pag 11.1 "à savoir la mise à disposition d'une société monégasque"; Ils
avaient toute la documentation sociétaire de la DAISY Ltd, à partir de
laquelle on remarquait que la société même était de droit des Isle of Man,
elle avait été constituée le 6 Janvier 1998, dont le titulaire à travers un
trust était M. Mangione R. Donc la
société n'était pas de droit monégasque et elle n'avait pas été constituée le
6 Décembre 1998; une erreur en toute évidence!
Pag 11.2 "Et pas l'Ambassade d'Égypte comme il avait été indiqué erronément par
M.me Pedretti"; il y avait une ultérieure erreur due à la non-lecture
de la commission rogatoire ou à la différente interprétation. Selon la lecture
des procès verbaux de la Police Judiciaire italienne lors de la poursuite
pénale n°292223/99 R.G. PM et n° 20668/99, M.me Pedretti déclarait avoir fait
un test de virement à l'Ambassade d'Égypte, et pas erronément!
Pag 12.5
Encore une fois la non-lecture des actes: le W.M.O. qui était une organisation
des Nations Unies, était indiqué comme une fausse entreprise et un client du
Banco de Roma!
Pag 14.1,2,3
Des "bordereaux de caisse", dûment titrés et signés après les
dispositions de M. Mangione R. étaient définis comme "faussement titrés"
sans avoir aucune explication plausible.
Pag 14.4 Selon
la documentation bancaire on évinçait que le compte de la DAISY Ltd avait
été ouvert le 30 Novembre et pas le 2 Décembre 1998.
Pag 14.6 Les
sommes provenaient du Crédit Foncier de Monaco et de la Compagnie Monégasque
de Banque. Ce fait était prouvé par les récépissés de prélèvement en espèces
effectué par M. Mangione R.
Pag 15.1 Avoir
une procuration sur un compte courant légitimerait de les avoir à disposition
quand il existe un réel titulaire!
Pag 15.5,6 Même si j'avais précisé et
déclarait plusieurs fois que les Procès Verbaux ne correspondaient pas aux
déclarations faites, il continuait imperturbable.
Pag 16.2,3 La volonté de ne pas admettre la vérité était éclatant, ils voulaient, à
tout prix, fournir la connaissance de M. Testa, même si telle connaissance
avait été démentie par des preuves.
Pag 16.4, 5 et
17.1 évidemment n'ayant pas la sténographe lors du procès, il pouvait
rapporter ce que convenait en plein libre arbitre. En effet, selon
l'interrogatoire de M.me Iotta J. on démentait la supposition de cette
présumée connaissance de M.me Curti Nadia, mais le rapporteur citait le
contraire.
Pag 17.3,4 La
personnalité de M. Mangione R. était définie comme de "douteuse moralité",
même s'il y avait une déclaration avec la signature authentifiée de son
expert-comptable Magnarelli F. de Rome, et même si son casier judiciaire ne
remarquait aucun enregistrement. Le rapporteur citait la suivante assertion de
pure enantiodromia: "même si il y avait deux procès verbaux rédigés par
l'Autorité Judiciaire, deux déclarations rendues par l'Avocat Piano P. à Milan
et par l'Avocat Mascia M. à Rome, il ne pouvait pas considérer comme
vraisemblables telles déclarations étant donné la personnalité de M.
Mangione?!?
Pour ce fait
particulier, on arrivait à découvrir que lors d'un procès verbal M. Tiberti G.
avait perpétré un faux en écriture publique relatif à une note d'information
de la D.I.A. laquelle déclarait que sur M. Mangione ne ressortait pas aucun
fait. L'inspecteur Tiberti reportait textuellement " personne connue
défavorablement par la Police" .
En
plus, le rapporteur continuait imperturbable à soutenir que telles
déclarations étaient visant à mettre hors de combat un complice !,
toujours sur la base des
assertions de M. me CURTI qui avaient été démenties par les faits réels
et les preuves et par M. me IOTTA J. aussi. Le personnage de M. me CURTI
N. a été habilement soustrait à la possibilité d’un contradictoire.
Pag 18.1 pareillement
aux pages 15.5 et 15.6 il ne tenait pas compte des déclarations rendues,
en les estimant superflues.
Pag 18.3 On est arrivé
au risible : il écrivait si « le W.M.O. existait réellement »,
carrément il n’avait lu la documentation de la commission rogatoire que
d’une manière superficielle et surtout seulement ce que lui pouvait
intéresser.
Pag 18.4 et 18.5 Le
chronologie des opérations, sur la base de la documentation sociétaire
et bancaire, était trompée pour ce qui concerne son historicité, et en
effet, à partir de l’ouverture du compte courant bancaire en date du 30
Novembre 1998 et pas le 2 Décembre 1998, la facture pour les commissions
était datée le 1 Décembre 1998.
L’apothéose est dans une
assertion de la page 19 : « En fonction des divers éléments acquis
est la conviction du Tribunal… », donc les erreurs, les
manipulations, les omissions et les divers faux étaient : COMPLETEMENT
AVALISES !!
Désormais était bien
clair que cette sentence de complaisance était rédigée avec le précis
but de créer un coupable comme bouc émissaire, en omettant et en
manipulant tout élément afin de cacher les précises responsabilités de
qui savait et qui taisait, mais pas seulement, car cette sentence en
avait continué la « gestion ».