"Je Vous dis que, s'ils taisent, les pierres crieront" de l'Évangile selon Luc, 19.40

Comme pendant les temps noirs de la raison je venais étiqueté en 2001 avec le terme "Grand Banditisme Italien"

Ce fait-ci peut faire réfléchir beaucoup sur certains individus qui sont encore les dépositaires du "pouvoir judiciaire".

Comme Franco Cordero écrivait (Professeur titulaire de Procédure Pénale à Rome): " Malheur si les défenses techniques n'existaient pas, car  les systèmes qui les excluent sécréteraient toxines". Et mes sentences ont été intoxiquées.

En mentionnant Voltaire, qui obtint l'annulation lors du Conseil Du Roi et l'absolution des Requêtes de l'Hôtel contre une condamnation de paritaire forme et substance des faits, le pouvoir judiciaire en sortit vaincu et il commençait la chute de l'Ancien Régime. Est-ce que l'Histoire va se répéter?

Selon une déclaration de Enzo Tortora: "de chaque victime sacrificatoire, de chaque bouc émissaire, quand avec un rituel barbare une société veut transférer et frapper les propres démons intérieurs, elle donne au propre mal le visage et le corps d'un autre."

En concluant comme "J'accuse" d'Émile Zola, avec sa version et langue :

J'accuse le lieutenant-colonel du Paty de Clam d'avoir été l'ouvrier diabolique de l'erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d'avoir ensuite défendu son oeuvre néfaste, depuis trois ans, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables.
 
J'accuse le général Mercier de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes iniquités du siècle.
 
J'accuse le général Billot d'avoir eu entre les mains les preuves de l'innocence de Dreyfus et de les avoir étouffées, de s'être rendu coupable de ce crime de lèse-humanité et de lèse-justice, dans un but politique, et pour sauver l'état-major compromis.
 
J'accuse le général de Boisdeffre et le général Gonse de s'être rendus complices du même crime, l'un sans doute par passion cléricale, l'autre peut-être par cet esprit de corps qui fait des bureaux de la guerre l'arche sainte, inattaquable.
 
J'accuse le général de Pellieux et le commandant Ravary d'avoir fait une enquête scélérate, j'entends par là une enquête de la plus monstrueuse partialité, dont nous avons, dans le rapport du second, un impérissable monument de naïve audace.

Ce n'est pas nécessaire faire les vrais noms, à partir des faits soulignés c'est très facile comprendre à qui, les mêmes faits correspondent!

Maintenant on a rompu les chaînes des mensonges et des faux, la vérité est en marche!

Dr. Iagher Francesco 2 Avril 2001 - 1 Mars 2004