Préliminaires,
Avant d'entrer dans les détails de cette "Infâme Histoire" et des ses 407 jours de séquestration judiciaire, dans le but d'avoir tout de suite la sûreté de la volonté de devoir forcement créer un coupable, il est symptomatique voir avec combien d'acharnement M. HULLIN J.C. a conduit l'instruction judiciaire; sa façon de raisonner est caractérisée par: manichéisme, inférence, attribution de motivation et des raisons occultes aux événements, propriétés transitives, théorèmes, amplifications des indices, hypothèses qui, soudain ont été transformées en faits réels. Ses théorèmes, générés par sa dévastatrice culture du suspect, lequel est visant et géré avec lucide fantaisie, ont su créer des véritables "X FILES" grâce à l'apport actif de l'inspecteur de police TIBERTI G. dans les constructions accusatoires. (ce dernier est un véritable artiste de la mystification). À ça, on ajoute le fait gratuit d'étiqueter avec "Mafia" et/ou "Grand Banditisme", et pas en dernier, on ajoute la diffamation morale et professionnelle. Les juges de divers dégrées de jugement auraient dû motiver leurs sentences comme un légendaire juge italien de Ronciglione: "Vu et pas appliqué les articles du Code Pénal…" Les ordonnances de renouvellement, celles de rejet à la requête de liberté provisoire et le renvoi en jugement sont un florilège d'erreurs, faux en écriture publique et faux idéologique; les pages suivantes étaleront, avec le support de la documentation en dossier, la volonté persistante de ce juge de mentir avec l'aval des Institutions. Chaque page sera une question de "suspect légitime" si tout ce que c'est passé a été une "denegata justitia". Ça sera comme le "J'accuse"…une répétition de l'histoire.