- Préliminaires,
- Une brève synthèse des faits
écoulés à partir du 1991 jusqu'au 2003, afin de démontrer comment on peut
utiliser deux sortes de « poids et d’epha » indifféremment, tant dans
l'application civile que dans celle pénale, et dans ce cas particulier,
quand ils existent des intérêts d'une part, carrément bien cachés et à
connaissance de peu de personnes élues.
1- L'acquisition de
l'immeuble et de l'activité hôtelière.
Lors les années ’90, j’ai été contacté par un de mes clients, un ami de Rome
depuis longtemps, de la part d’un groupe d’entrepreneurs qui était intéressé par
une activité hôtelière dans la principauté de Monaco. Il me présenta les frères
DI NEPI Settimio et Pacifico, auprès de leur siège, un cabinet prestigieux en
Rue Nazionale à Rome. Ces deux frères étaient connus dans les milieux romains,
comme des riches commerçants, qui possédaient dizaines de magasins situés dans
les différentes régions italiennes. Après divers rendez-vous à Monaco et à Rome,
je procédais à recueillir les informations sur le développement de l’activité
hôtelière ; en effet, ils avaient en cours divers achats d’hôtels, certains
conclus, et plus précisément outre l’Hôtel du Louvre: Hôtel Leon d’Oro, le
Catullo à Vérone, Hôtel Garden à Castel Gandolfo, Hôtel Fauche à Milan, Grand
Hôtel Federico II à Bari, Hôtel Gold à Vicenza, Hôtel Polo Beach and Casino à
Saint Martin. Vu telles prémisses, j’acceptais la charge professionnelle et je
commençais les diverses procédures à effectuer et les différents contacts à
prendre. Le 29 avril 1991 auprès du Cabinet Notarial de Maître Paul Louis
AUREGLIA de Monaco, ont été constitué les sociétés SKY FIN Sci, qui serait
devenue la propriétaire de l’immeuble et la Hôtel du Louvre Scs, laquelle aurait
déroulé l’activité Hôtelière. Il est resté empreint dans ma mémoire la façon et
les personnes participant à tel acte notarial : l’entier staff des Frères DI
NEPI avocats, experts-comptables et administrateurs, lesquels étaient venus avec
l’avion personnel de Monsieur DI NEPI Settimio. Ensuite, il y avait le directeur
de la Banque Transatlantique de Monaco Alcabez J. et son collaborateur SARNO G.
qui avec extrême déférence portaient personnellement les deux chèques de 55
millions de francs français chacun, qui devaient être consignés au vendeur Roman
Gilbert (ex Président de l’Association des hôteliers monégasques). Rien ne
faisait présager ce que serait arrivé lors les années à suivre.
2- La faillite du Groupe Di Nepi
En 1993, il y eu les premières symptômes qui faisaient présager quelque chose.
Même si les activités commerciales et hôtelières du Groupe DI NEPI étaient en
plein activité, la considérable somme des dettes bancaires consolidées érodait
les bilans en manière surprenante. Déjà en mars 1993, il y avait les premiers
rappels pour le paiement des divers emprunts en échéance, lesquels n’ont été
jamais payés. Pour cette raison la B.T.M. (Banque Transatlantique de Monaco),
même s’elle détenait une garantie personnelle de Settimio DI NEPI, bloquait le
compte courant du gérant, qui n’avait aucun lien avec l’activité. Vu
l’impossibilité de trouver des solutions et vu la continuation de cette
situation après diverses réunions et différents actes judiciaires contre les
frères DI NEPI, ces dernières cédèrent les quotes-parts de la Scs Hôtel du
Louvre après un accord judiciaire avec leur Avocat VITOLO V. Les frères DI NEPI
furent exclus de la gestion, restant seulement les propriétaires de la Sci SKY
FIN qui détenait l’immeuble. Il fut stipulé un contrat de location pluriannuel
pour la récupération des investissements effectués et afin de procéder au
paiement des dettes contractées par les frères DI NEPI (à voir : Arch. CURAU
C.). A partir du mai 1993 la gestion de l’Hôtel devenait une gestion familière,
en commençant une négociation avec la Banque Générale du Commerce à Paris, pour
la récupération de l’activité, mais à la valeur commerciale réelle et non aux 10
millions de francs français qui étaient une véritable absurdité ! En même temps
ont été effectués des travaux de restructuration et modernisation de l’hôtel, vu
les conditions précaires et de vétusté des structures afin de le rendre l’hôtel
à la hauteur des « trois étoiles » qu’il avait. A Rome, dans la même période la
Magistrature avait commençait une poursuite contre les frères DI NEPI, le reste
de l’histoire fut une véritable chronique judiciaire, il suffira de la lire sur
les links concernant.
Chapitre 3- La suspension de
l'activité en date du 17 Août 2001 ; la cessation de l'activité en date du 31
Janvier 2002 et la suspension de la procédure de liquidation en date du 12 Juin
2003
- La
suspension de l’activité en date du 9 Août 2001
- Lors cette année
de complète tragédie, il arriva aussi la clôture de l’hôtel sur la base d’une
ordonnance du 6 juin 1867 !! et donc il y avait la fermeture contemporaine pour
le non-respect des règles hygiéniques, et la reprise était possible seulement
après une vérification opportune. Malheureusement, en étant dans l’impossibilité
d’avoir des nouvelles directes sur les faits, je restais véritablement perplexe,
seulement à distance de beaucoup de temps j’apprenais que tout cela arrivait
suite à une plainte effectuée auprès de l’Office du Tourisme, qui en suivant son
iter, aboutait à la fermeture. Il y avait peut- être un problème technique des
structures qui devaient encore être terminées , où une mauvaise gestion du
personnel qui devait effectuer le ménage des chambres. Ces faits étaient de
toute façon facilement résolubles, mais au contraires ces problèmes ont
constitué l'occasion pour le gérant de donner « forfait » et fermer l’activité.
- La cessation
de l’activité en date du 31 janvier 2002
- Donc l’activité
hôtelière était cessée, de la suspension administrative on arriva à la cessation
de l’activité à cause de la fuite du gérant, mais certainement pas à cause du
respect des préceptes de la loi où de ceux civiles, mais au contraire car il a
du filer à l’anglaise ! La fuite a été bien organisée et orchestrée, carrément
ne payant personne et en détournant les liquidités de l’activité, en récupérant
les matériaux et les biens de l’hôtel , et tout cela à son total profit ; enfin
le gérant il déménagea en Val d’Aoste avec l’aide d’un ami commun de cette
région M.S.
- La
Suspension de la liquidation judiciaire du 12 juin 2003
- Le juge ordonnait
au syndic liquidateur Garino A. la suspension de la liquidation, et évidemment
il devait y avoir quelque chose de peu clair, en effet, une c’était une
confirmation éclatante qu’on utilisait deux sortes de poids et d’epha. Selon
certaines déclarations, on n’a pas trouvé aucun document ou moyen afin de
vérifier la comptabilité et d’établir un prospect d’analyse, et à différence de
mon cas « très particulier », il n’a pas été effectué aucune vérification auprès
des banques de Monaco, pour retrouver des éléments intéressants. De plus,
derrière cette procédure qui était bien anomale, il se cachait la volonté de ne
pas faire trop de publicité et ne pas faire savoir « la faillite non déclarée »
et « d’actions pénales de responsabilité omises ».
Conclusions et Commentaires
J’ai seulement un
commentaire à faire, qui est spontané : il faut se demander ce qu’il y a
derrière tout cette histoire, et on peur le faire en ré-parcourant toute
l’histoire en faisant une synthèse historiques des faits :
-
-
Le Groupe DI NEPI, grâce à des appuis
bancaires obtient un prêt de 55 millions de francs français, garantie
par les hypothèques sur l’immeuble pour une somme de 45 millions de
francs français et 10 millions de francs pour l’achalandage.
-
-
Les tranches de l’emprunt n’ont été
jamais payées, il commence le déclin du Groupe DI NEPI, jusqu’à la
condamnation en date du 8 avril 2003.
-
-
Les mêmes Frères DI NEPI sont exclus
de la Scs Hôtel du Louvre, en réalisant un contrat de location
pluriannuel pour le remboursement des investissements effectués ; le
loyer sera utilisé pour le remboursement des emprunts et pour le
payements des honoraires l’Architecte CURAU, relatifs à la
restructuration de l’immeuble pour une somme totale de 1.852.484 francs
français, la quelle n’a été jamais effectuée.
-
-
Un contact avec la Banque Générale du
Commerce à Paris a été pris pour l’acquisition de l’achalandage
commercial, ce-ci à la valeur réelle commerciale, en évaluant
l’effective capacité réceptive de l’hôtel qui avait 33 chambres
lesquelles devaient être restructurées entièrement.
-
-
La SCI Louvre, représentée par
Sangiorgio Frédéric, prenait à sa charge l’intégralité des dettes du
Groupe DI NEPI, en devenant la propriétaire de l’immeuble et de
l’achalandage commercial.
-
-
Pendant l’année 2000 des contacts
commencent pour une éventuelle rescision du contrat de location et le
payement d’une « buonauscita » pour 10 millions de francs français,
cette évaluation a été considérée sur la durée encore à effectuer et sur
la moyenne pondérale du revenu net produit.
-
-
Lors de l’an 2001 a été suspendu
l’activité de la S.c.s Hôtel du Louvre, premièrement pour des raisons
hygiéniques et successivement pour la fuite du gérant la même a été mise
en état de liquidation. Le 12 juin 2003 la liquidation judiciaire a été
suspendue au égard du gérant qui a soustrait 1.310.000 francs français
aux banques correspondant à l’encaisse, biens et matériaux de
l’activité, ( à voir relevés de compte C.F.M. et B.N.P. qui n’ont été
trouvés ou ils ont été omis..). Il n’ont été jamais récupéré les actifs
(qui sait pourquoi ?) et il n’a été jamais effectué une procédure de
responsabilité ni on n’a déclaré le redressement judiciaire, ou la
banqueroute frauduleuse.
Alors, les conclusions sont les suivants, sur la base des
intérêt qui vont prévaloir, la justice applique deus sortes de poids et d’epha,
et il y a en plus un légitime suspect que derrière l’affaire MOBUTU se cache
l’hôtel du Louvre.
-
Links
Journal de Monaco
-
http://www.monaco.gouv.mc/dataweb/Jourmon.nsf
- 7508-17/08/01
-
Arrêté Ministériel n° 2001-434 du 9 août 2001
portant fermeture administrative temporaire d'un établ
- 7536-01/03/02
-
Liquidation des Biens de la S.C.S. LAMBIASE ET
CIE ayant exercé le commerce sous l'enseigne : "HOTEL DU
LOUVRE
- 7598-09/05/03
-
GREFFE GENERAL Extrait
- 7604-20/06/03
-
GREFFE GENERAL Extrait
- 7533-08/02/02
-
GREFFE GENERAL EXTRAIT
N.B.
curieusement jamais publiés sur le « réseau »… a différence de ma
procédure qui a été extrêmement publicisée, à savoir pourquoi ? peut
être il y avait quelque chose à cacher, ou on ne voulait pas faire
savoir quelque chose…
- Même si mort et
enterré il reste encore quelque link daté 2005 dans la poussière…
-
http://www.cybevasion.fr/hotels/france/hotel_monaco_hotel-du-louvre_10043.html
-
http://www.menton.com/monaco/hotels.htm
-
http://www.provenceweb.fr/e/alpmarit/monaco/hotels.htm
- http://www.riviera-magazine.com/hébergement/villes/Monaco3-fr.html
-
- Links concernant
l’histoire des frères DI NEPI
-
http://web.tiscali.it/almanacco/p2aprile2003.htm
-
http://web.tiscali.it/almanaccodeimisteri/p22000.htm