Chap. 01 - Début de l’histoire, le pillage de le Cabinet Iagher
En début d’après-midi le 2 Avril 2001 en sortant du bureau, jamais, j’aurai pu imaginer que je ne l’aurai « jamais, jamais » revu… ! Tout ce que j’avais crée durant toutes ces années de profession, personnellement « petites ou grandes » c’était évaporé, envolé, dans l’espace... finalement dans rien ! A ma bonne foi, et hélas a mon manque d’expérience, preuves à l’appui me FURENT soustraits… comme par exemple, cadres et leurs supports, articles sportifs encore dans leurs emballages originaux, casques et lunettes de cycliste, cadre du 19 siècle….malgré qu’il soit en restauration… ! Collection de PC IBM etc. vu que tous ces objets se trouvaient dans un dépôt, une ou plusieurs personnes bien intentionnées ont pensé les jetés ! ou se servir tout simplement… ! Il va de soi qu’à tout ce beau monde, il ne faut pas oublier les opportunistes. Surtout les plus révoltants, les plus cyniques, avec un comportement inqualifiable «Ceux sont certains employés » qui profitant de la situation ont fêté. En grand avec toutes les provisions du frigo. Outre à parler à tort et à travers, (toujours les employés) et en faisant des déclarations stupides, peut-être sous la pression des interrogatoires, ou tout simplement en se défoulant de leur envie souvent refoulée, réprimée ! Envers les clients rien ne leur a été épargné même temporairement pour résoudre leur situation, bien au  contraire tous les moyens furent bons pour un employé cherchant de s’accaparer quelques uns d’entre eux, démontrant ainsi quel triste individu il pouvait être, comme employé vu son grade qu’il avait dans l’étude. Retrouvant dans le PC des traces de ses mal faits lettres insinuantes avec requête de vacances déjà effectués et surtout payés ! Les différents prospectus de la documentation des clients remis au « Syndic » (liquidateur) après une dizaine de jours une lettre d’accompagnement  pour la consigne de toute la comptabilité de l’étude. Effectivement avec « une rapidité magistrale » un « liquidateur » fut nommé sur la demande express des « employés » pour une raison fort simple et comme un prétexte curieux et inexplicable, le non paiement des salaires du mois de « Mars » des employés !
L’argumentation guère convaincante du paiement en partie des salaires de la Banque, fournissant comme explication que il n'était pas conforme. Etrange et bizarre devrai-je dire…Par conséquence les chèques comme d’habitude étaient signés toujours avant le 30 de chaque mois. En outre vue que l’histoire était orchestrée magistralement tous « les comptes bancaires » (titulaire, ou ayant procuration) furent bloqués, et de ce fait l’Etude et les Société que je dirigeais le furent également ! J’ai fait remarqué en ce qui me regarde, une assertion « en pointillé et soulignée » par le J.I. HULLIN dans la commission rogatoire faite à Rome (dénoncé pour faux en écriture public) d’avoir trouvé sur plusieurs comptes qu’il avait bloqué , les « Fonds de l’Escroquerie Banca di Roma/Mobutu » et de les avoir séquestrés, Un examen très attentif effectué sur tels comptes, aucune opération n’a jamais transitée même pas un centime d’Euro d’une telle escroquerie. En outre dans les comptes de l’Etude, il y avait assez de fonds, pour le règlement des fournisseurs, dépense journalière de gestion, sans oublier les comptes fiduciaires ou tous les dépôts de plusieurs clients y étaient déposés. Désormais, le sabotage était en cours, les chacals profitèrent pour soustraire combien d'ils pouvaient plus dans l'impunité pleine, de l'articles de bureau, matériels, tableaux, livres etc..
Comme dans l’histoire « KRISTALLNACHT » (Nuit de Cristal) La DESTRUCTION de l’ETUDE IAGHER a Montecarlo commençait.

  Chapitre 2