Chapitre 08 - Les tentatives d’escroquerie d’un client et de deux émérites inconnus

 

 
Evidemment lorsque l’on subi un malheur, quelques personnes peuvent se réjouir, d’autres sont indifférentes et nullement intéressées par l’histoire puisqu’elles ne sont pas impliquées, mais quelques autres personnes pensent profiter comme des « chacals », en croyant tout simplement trouver leur compte, ou bien quelques avantages… ! Deux escrocs ont essayé . Lorsque j’étais en pleine tempête judiciaire pour ce qu’il allait advenir dans « la farce du procès Mobutu », le faux en acte public dans la commission rogatoire internationale a Rome du Juge HULLIN JC. Lorsqu’il affirmait d’avoir trouver sur les comptes courants à Monaco certains fonds , démenti par un échec retentissant des faits. En faisant le point de la situation avec « les avocats »des précédents interrogatoires j’avais bien précisé « QU’IL NE MANQUAIT PAS UN SEUL CENTIME » Mais sa persécution continua imperturbable, avec un procédé déloyal à mon écart ainsi qu’un déroulement ultérieur des faits toujours hélas a ma charge : Escroquerie et abs de confiance ; tout cela sur la base de trois dénonciations  ; que puis celle de Castellino Francesco présentée avec une mauvaise foi et subornée, Madame BELLUCCI quant a elle, ne présenté pas aucune dénonciation ; Madame CUCINOTTA après les éclaircissements il définit le tout sur la base des documents réels. Un soulignement, dans mon étude un archives de 20 armoires existait par h 200x100x200 , Pour gérer le juridique, comptabilité pour l’historique de chaque compte ainsi que sa position ; la masse documente leur «séquestrée» il était de dizaines de cartons! Affirmer : une masse sans consistance réelle avec factures rares est un faux monumental. Seul un esprit tortueux, une mentalité bornée ainsi qu’une grande ignorance en matière de gestion fiduciaire, peuvent se lire dans les multiples décrets, cela était de toute évidence le système le plus performant en persécution, ayant pour cause « la faillite » à n’importe quel prix ! Donc ces deux histoires se prêtaient à leur but, mais il n’avait pas tenu compte de  toute évidence que du 1er Mars  2004  j’étais de nouveau un « citoyen » libre d’agir et de me défendre par mes propres moyens, démasquant sans crainte d’être démenti, avec des documents ainsi que des preuves a l’appui, ces tentatives « d’escroquerie » ! Histoires qu'elles sont résolument restées intéressant pour les dyscrasie considérables de procédure et faux exhibés :
L'affaire Castellino Francesco
L'affaire Grimaldi Sergio âpres Di Fani Augusto et ses complices

Chapitre 9