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La première impression que j'ai eu de cet individu c'est son arrogance et morgue, le sien ne te pas regarder dans les yeux mais de manière torve; une sensation épidermique de méfiance, d'un quelque chose visqueux presque rampant et sournois. On ne perçoit pas le charisme hiératique du magistrat, l'exhaler ce sens de justice inhérente dans les gestes, tu n'essaies pas l'émanation d'une personne d'il lit. Les doutes de sa "malhonnêteté" mentale, ils se confirmèrent avec les faits saillants qui portèrent à la certitude qui la justice était morte et on annonçait le "Denegata Justitia". Comme dit un avocat monégasque et ancien bâtonnier "l'usine des coupables" était en marche. En effet le comportement dans le premier jugement avait stigmatisé de comme à été piloté l'accusation avec les faux de le juge Hullin et de l'inspecteur Tiberti ; les certitudes de sa mauvaise foi et qu'il mentît en le sachant de faire, il trouve comparaison en actes procéduraux innombrables déjà cité en priorité. Mais le sien sévir continue dans les autres aussi deux procédures, celle du Castellino faite en mauvaise foi et en tentant l'escroquerie, et celle de l'indemnité de départ judiciaire de l'étude créée à l'art. Il ne pouvait pas accepter que ces autres faits n'allassent pas deuxième ses desiderata, et qu'il ne pouvait pas les manipuler à son plaisir, il put seul grâce à l'abus de pouvoirs de bureau différer le déblocage des comptes courants bancaires. En effet bien que le Juge Narmino P. dites son consentement au syndic Garino A. de procéder aux déblocages depuis le 28 Octobre 2004 ; telles procédures se furent opposées par le Juge Hullin jusqu'a à son déplacement à Paris dans le mois de Décembre, et de ce magistrat à tout le mois de Février2005. En effet la lettre de "mainlevée" il fut bloqué avec une caractéristique postick au 15 Février 2005, donne d'une audience avec le Juge Narmino P. pour définir les deux derniers dossiers relatifs à deux "escrocs" le Di Fani A. et le Tarantelli L. et au déblocage des fonds de l'E.P.S.I. Ltd de Reverberi B. (compte unique qu'il ne fut pas bloqué par la procédure Hullin, oublié ou faute ?). Tel "retard" découvert, de la part de Me Bertozzi me dit que le fait fut adossé rapidement au secrétariat qui avait mal compris ; après l'avoir rapide, un coup de téléphone de "pouvoir, pour tenir telle pratique dans le tiroir ! Il fut transféré heureusement! depuis ce moment la procédure prit un autre pli dans la légitimité du droit et de la justice.
Les Conclusions |